14. La qualification sinon rien

Récompenses

Tout d’abord, je vais commencer avec la récompense annuelle pour l’entraîneur français de l’année et je suis très fier de remporter une nouvelle fois ce titre. Cela fait donc mon 4eme titre d’entraîneur de l’année.

Pour ce qui est de mes stats actuellement les voici :

La SERIE A TIM & TIM CUP

Pour ce qui est le la coupe nous avons eu d’abord un match contre Chievo qui s’est bien passé avec une victoire 3-1.
Puis nous comme tomber contre l’Inter de Milan et là premier problème, car l’inter est à 1 point de nous en championnat et nous les jouons à 4 jours d’intervalles.

Cela a donc été 2 matchs à haute intensité. Clairement cela a été 2 matchs de très haut niveau. De plus, j’en ai profité pour faire mon 300 eme matchs pro.

Le match suivant en coupe a été contre la Juve.

2 matchs fous très stressant mais c’est passé à la limite.
Pour la finale se sera un match un peu plus « simple » que les 2 précédents je pense. Ce qui serait notre 1er titre avec la Lazio.

Pour le championnat :

On peut voir que tout se passe bien. On est bien partie pour battre le record de point du club (84). En espérant peut-être faire la saison parfaite afin de rentrer dans l’histoire du club (et de déverrouiller le succès tant qu’à faire ^^) . De plus, on reste l’équipe la plus solide dernière avec 7 petits buts pris.

La bétonnière

Pour notre déplacement au Portugal tous se passais comme prévu, Benfica est un club équivalent au nôtre.

J’ai pu reposer mes joueurs contre Parma (18e), puis il se passe un imprévu 2 jours avant le match.

Donc je me retrouve dans les buts avec Jonathan Paparcone qui est … moyen dirons-nous. Qui en plus de cela, n’a pas joué un match de la saison.

Je crois pouvoir dire que toute la sérénité accumulée par nos matchs précédents venaient de s’estomper en un instant.
Mais bon on n »a pas le choix.

vestiaire

Les gars aujourd’hui Benfica, c’est simple ils sont invaincu en championnat leurs seules défaites ont été contre l’Atletico et contre Dortmunt à l’extérieur. En ligue des champions il suffit d’un but à l’extérieur pour prendre un avantage conséquent, maintenant si vous voulez continuer à vous de vous battre !
Jonathan je compte sur toi, tu as attendu ton heure toute la saison à toi de me prouver que tu as ta place ici.
Giorgio et Marin je compte sur vous pour jouer encore plus dur que d’habitude JE NE VEUX AUCUNE FRAPPE dans la surface, SI JAMAIS ils doivent frapper de loin je veux une marré humaine sur eux ! Est-ce clair ?!

Tu parles à peine le match commencer Benfica assaille nos buts, 1 tir puis 2 puis 5, heureusement la défense joue le jeu et contre tous les tirs au maximum et les seules frappes qui arrivent à Jonathan sont des frappes légères ou des coups franc, mais je sens bien qu’on joue avec la peur au ventre. Nous n’arrivons pas à développer notre jeu on subit.
Le public portugais pousse et chaque action pour eux rajoute de la pression pour nous …
Je suis dans une impasse, je n’aime pas faire, ça mais je demande à mes joueurs de garder un maximum le ballon et d’attendre que la tempête passe. Mon homologue quant à lui crie à ses joueurs de pousser, pousser, attaquer toujours plus pour nous faire craquer.
67eme touche pour nous, Kostenko l’envoie pour Sergej, mais Lirola vient violemment le percuter dans le dos l’arbitre siffle un arrêt de jeu et se déplace vers la VAR pour voir si la faute et dans ou hors de la surface. Je prie pour qu’elle soit à l’intérieur et qu’on vienne faire un coup de Trafalgar à ses fichus portugais.
Au bout de plusieurs minutes l’arbitre annonce le point de penalty !!
» ANDREAS IL EST POUR TOI ! APPLIQUE TOI! »
Il prend son élan, il s’élance, tire du plat du pied sur la droite, je vois le gardien partir du bon côté, mais le ballon vient raser le poteau 1-0 !!!!!!!!!
« BIEN JOUE LES GARS MAINTENANT ON VA LEUR MONTRER LE CATENACCIO ITALIEN ! »
Je choisie de redescendre mes ailier en milieu latéraux , Belotti comme attaquant de pressing, mon mezzala en milieu axial défense.
Ce qui réussit car malgré les plusieurs autres tentatives et surtout une où Serrano donne mal son ballon ce qui permet à Schick de se retrouver en face à face avec Paparcone, mais celui-ci a réussi un arrêt magnifique, aucune autre action n’a été suffisamment dangereuse pour égaliser. Nous remportons finalement se match à ses uniques sur une faute stupide de leur part.

Le colisée au pied d’argile

Pour le match retour, cela a été un match très équilibré, il n’y a pas eu de jeu d’un côté ni de l’autre. Notre plus grosse action a été une reprise de volet de Sergej sur la barre. L’ensemble des 2 matchs montre bien que nous soyons tout de même vulnérable et qu’il faudra être prudent pour la suite malgré ses 2 victoires 1-0.